Ronde de nuit [ Libre ]

Il faisait nuit noire et à peu près personne d'humain n'aurait pu voir quoi que se soit dans ces ténèbres. La Lune était absente et seules les étoiles illuminaient le ciel de cette nuit d'été. C'était, il fallait bien le dire, une nuit calme et sans trop d'incidents, une de ces nuits ou simplement deux Chargés de Disciplines étaient presque de trop, et pourtant ! Sait-on jamais, peut-être qu'elles allaient être encore très utiles se soir, puisqu'il se passait toujours quelque chose, un incident mineur provoqué par de jeunes Humaines excentriques et complètement débiles.

Droite et en alerte, Shiro scrutait l'horizon depuis le haut d'un arbre... à ce demander comment elle avait fait pour y monter, mais surtout, comment elle faisait pour rester debout sur son sommet. Ses yeux dignes de pures améthystes ne manquaient aucun détail et détaillaient la moindre chose qui passait sous son regard, que se soit le mouvement d'une souris ou une feuille qui voletait par une légère brise. La longue chevelure de la jeune femme, d'un blanc immaculé digne de son nom, flottait dans les airs, au rythme d'une brise régulière. Bien que ce fut un soir d'été, n'importe qui aurait frissonné en la voyant ainsi vêtue : une jupe courte, une simple chemise noire -- bien décolleté, il faut bien l'admettre, et laissant entrevoir une jolie poitrine -- , ses bottillons et ses espèces de bas-filets munis de jarretelles -- qui servaient, en réalité, d'attaches pour ses deux révolvers.

Soudainement, sans un bruit, la jeune femme fit un pas dans le vide et se laissa tomber du haut de l'arbre. Elle atterrit sans bruit, une main et un genoux à terre, et prit à peine le temps de se relever qu'elle disparue aussitôt. Elle courrait à grande vitesse et se retrouva bien assez vite derrière deux humaines étourdies qui tentaient sûrement de prendre des photos des Vampires de la Ligue. Shiro s'avança doucement, sans un bruit, vers elle et leur chuchota doucement aux oreilles :

- Je peux vous aidez, Mesdemoiselles ?

Les deux jeunes filles hurlèrent de peur et se retournèrent vivement. La jeune Hunter avait les bras croisés et posait sur elles un regard dur et sévère, qu'on ne lui connaissait que trop bien, mais qui avait toujours le don de nous foutre la trouille. Les deux jeunes Humaines se tenaient dans les bras l'une de l'autre, comme si c'était pour se rassurer entre elles. Shiro roula les yeux d'exaspération : comme si ça les sortirait du pétrin dans lequel elles étaient.

- Vos noms et vos classes, TOUT D'SUITE !

Les jeunes filles acquiescèrent et lui répondirent dès l'instant. Shiro nota leur nom sur un calpin déjà trop remplit puis jeta à nouveau son regard presque diabolique sur elles.

- Maintenant foutez le camp dans vos Dortoirs et j'veux plus jamais vous revoir trainer par ici !

Les deux jeunes filles ne prirent pas la peine de lui répondre et décampèrent sur le champ. La jeune Hunter posa une main désespérée sur son front et tâta l'un de ses révolvers du bout des doigts. Une partie d'elle aimerait bien s'en servir, mais de l'autre côté, elle espérait que non. Pourtant, ce pourrait être amusant de faire peur à quelques unes de ces groupies. Elle rouvrit lentement les yeux alors qu'elle entendait un bruit de feuilles derrière elle. Se redressant et sans tourner la tête, elle s'adressa à l'intrut d'une voix haute et sans émotions.

- Qu'est-ce que tu m'veux ?

Ma tête ballotait lentement dans ma main, mon regard se perdant dans l'horizon. Il faisait nuit noir, seul les étoiles éclairaient le dehors, et même encore, d'une lueur que trop faible. La voix monotone du professeur était loin, bien loin. Je ne m'en souciais peu, il ne méritait pas qu'une fille aussi parfaite que moi se soucie d'un gars aussi banal que lui. Mes paupières étaient bien lourde cette nuit. Pourtant, ce n'était sûrement pas moi qui manquait de sommeil. Je me couchais à des heures tout à fait résonnable, mais pourtant, j'avais bien envie de m'endormir maintenant. Mais ce serait faire honte à moi-même, de m'endormir ainsi, en plein cour. Je soupirai bruyament, ce qui attira le regard du professeur. De quel droit pouvait-il me dévisagé ainsi? Bon, certe, j'étais contre la fenêtre à regarder le vide, mais tout de même. Malgré le fait que je sentais son regard posé sur moi, je ne tournai même pas la tête vers lui. Comme dit plus haut, il ne méritais tout simplement pas mon attention. Lui, par contre, il essayait bien entendu d'attiré mon attention. Au début part de simple toussotement, puis il cogna sur son bureau. Puis, mon nom arriva à mes oreilles.

"Aidô-San! Ce n'est pas le moment de dormir, je vous rappelles"

J'haussai les épaules avant de me lever. Puis, sans même un dernier regard au professeur, je quittai la salle. L'air frais de la nuit, voilà ce qui me fallait. Mes pas se faisaient léger et mes boucles blondes dansaient sur mes petites épaules. Le silence reignait dans l'academie, sauf peut-être me respiration qui faisait écho. Je finit par franchir la grande porte qui me menait hors de l'établissement. Mais, j'étais toujours dans le domaine. Pour me rendre à mon dortoire, il fallait que je franchisse les grilles. Hors, je n'avait pas envie de rentré. Juste le fait de prendre l'air me détendait. J'étais heureuse, de quitter mon abruti de petit frère, mais ici, il n'y avait vraiment personne qui méritait d'avoir mon attention. Parce que, parfois, certaines personnes ont la chance que je leur accorde un tant soit peu d'attention, ceux qui ont pu retenir mon attention. Mais dans cette école où était réunis humain, vampire et quelques saloperies d'hunter, il n'y avait vraiment rien

Je finit par franchir l'orée de la petit forêt qui contournait l'école. Bon, forêt n'est sûrement pas le mot approprié. Une petite plantation d'arbres je dirais. Bon, peu importe. Il faisait encore plus sombre sous le couvert des arbres. Un humain normal s'y serait perdu. Mais moi, je suis une vampire, une fille de race supérieur, et donc, bien meilleure. Je suis même meilleure que les vampires eux-même, je suis en fait, parfaite. Mais tout le monde le sait. Puis, une voix. Un voix que très peu sympathique s'adressa à moi.

- Qu'est-ce que tu m'veux ?

Oulahaha. Je fit un autre pas, histoire de mieux la distinguer. Il fallait que je saches le visage de la personne qui m'avait fait cet affront. Cette fille... Une hunteur. Pfff... Pas très interessant. Je me releva de toute ma hauteur, qui lui arrivait à peine à la poitrine, et la regarda de haut.

"Qui es-tu, stupide hunter, pour m'adresser ainsi la parole. Et compte toi chanceuse que je daigne de te parler"

Une gamine. Rien de plus qu'une gamine qui venait d'arriver et de façon pas très discrète. À en juger par l'aura qu'elle dégageait, Shiro se désespéra à penser que c'était une Vampire Aristocrate. Elle se tourna et lui fit face, pour s'apercevoir qu'elle lui arrivait à peine à la poitrine, qui d'ailleurs l'empêchait de bien la voir vu que cette petite chipie était presque collée contre elle. Elle la dévisageait avec un air hautain et d'une manière qui lui montrait très clairement que la Hunter n'était, pour elle, que du poisson pourri !

"Qui es-tu, stupide hunter, pour m'adresser ainsi la parole. Et compte toi chanceuse que je daigne de te parler"

Stupide ? STUPIDE !? Non mais pour qui elle se prenait cette gamine. Shiro la regarda de haut et haussa un sourcil tout en tentant de contenir sa colère, qui se serait traduit, si nous avions été dans un manga, par une veine palpitante au niveau de sa tête ! Cette gamine était-elle stupide à ce point !?

- Si tu daignais sortir de ton petit monde illusoire, tu saurais que j'suis Chargé de Discipline, que j'ai le droit de te tirer dessus, et que j'en ai rien à branler qu'une gamine comme toi m'adresse la parole !

La plupart des gens normaux auraient trouvé Shiro très crue, et ils auraient eu raison. Cette jeune femme ne mâchait jamais ses mots, et elle se fichait complètement de blesser les autres ou non ! La seule à qui elle faisait attention à ne pas trop blesser, c'était Marianne, son amie d'enfance. Pourtant, elle était aussi crue que ça avec son propre père, ce qui exaspérait celui-ci au plus haut point !

Shiro regarda cette gamine aux boucles blondes et réalisa alors qui elle était. L'ombre d'un sourire s'afficha alors sur son visage, ce genre de sourire qui aurait de quoi foutre une peur bleue aux personnes qui savaient ce qu'il signifiait. Oui, un sourire sournois qui trahit les intentions que la jeune Chargé de Discipline avait.

- T'es Cassiopé Aidô, na ? Alors comme ça, c'est toi la petite princesse qui se prend pour le Centre de l'Univers. B'ah laisse-moi te dire un truc : on s'en fiche complètement de tes caprices et de tes fabulations ! Alors sort de ton monde imaginaire et apprend ce qu'est la réalité !

Elle était dure, mais avec la vie qu'elle avait menée, quoi de plus normal qu'elle déteste ces petits Aristocrates chéris qui se cachaient toujours dans les jupes de leur mère quand quelque chose n'allait pas. Elle haïssait ces Nobles qui se croyaient toujours tout permis en plus de se penser être le Centre du Monde. Le monde n'était pas rose, et il était loin d'être aussi gentil que ceux-là devaient le penser ! Elle n'avait pas de problèmes, elle, à part son égo surdimensionné, alors pourquoi se plaignait-elle ? Oui, elle se plaignait de son frère ! Ça dégoutait Shiro au plus haut point, car elle n'avait aucune raison réelle de se plaindre. Shiro, elle, avait vécu à la dure, et ne s'était jamais plainte, alors elle préférait montrer à ces crétins de Nobles quand il était temps pour eux de se plaindre avec raison !

- Si tu daignais sortir de ton petit monde illusoire, tu saurais que j'suis Chargé de Discipline, que j'ai le droit de te tirer dessus, et que j'en ai rien à branler qu'une gamine comme toi m'adresse la parole !

Me tiré dessu? N'importe quoi. Un léger rire cristallin s'échappa de mes lèvres et je regarda la dite Chargé de Discipline. Pour qui se prenait-elle, celle-là? Elle ne savait pas que s'adresser ainsi à moi, une vampire, Aristocrate de surcroit. Je lui lança un regard emplit de colère et si mes yeux avaient pu tuer, elle serait morte à l'heure qu'il est. Je détestait ceux qui osait m'insulter, comme elle venait de le faire. Et non, je ne l'avais pas chercher. Elle n'avait eu que ce qu'elle méritait. J'étais à proximiter d'elle, un peu trop pret peut-être. Mais je ne voulais pas reculer, car ceci était un signe de faiblesse. Je n'avais pas besoin de reculer, si elle me trouvait trop près, c'était a elle de reculer, pour montrer ainsi a tout le monde la faiblesse des hunters. Les hunters étaient faibles car jamais ils ne pourraient rivaliser avec les vampires de mon rang. Ça, jamais. Mais bon, elle était trop stupide pour le comprendre, celle-là.

L'ombre d'un sourir qui était censé être menaçant s'étira sur les lèvres de la hunter. Essayait-elle de lui faire peur? Car c'était totallement raté. Faire peur à une vampire? Elle était vraiment trop stupide. Pourquoi avait-elle été qualifier d'hunteur au juste? Une simple incapable qui se prenait pour une chanceuse de vampire... Finalement, c'était normale qu'elle soit hunteur, car tout les chasseurs de vampires étaient ainsi. Puis, elle ouvrit sa grande bouche de petite ignorante. Bon, pas si ignorante que ça, car elle savait mon nom.

- T'es Cassiopé Aidô, na ? Alors comme ça, c'est toi la petite princesse qui se prend pour le Centre de l'Univers. B'ah laisse-moi te dire un truc : on s'en fiche complètement de tes caprices et de tes fabulations ! Alors sort de ton monde imaginaire et apprend ce qu'est la réalité !

Le Centre de l'Univers? Je ne me prends pas pour le Centre de l'Univers, je SUIS le Centre de l'Univers. La fille la plus parfaite qui soit. Un monde imaginaire? Elle ne comprenait donc pas que ma réalité était celle d'une fille parfaite où tout le monde accède à mes désirs. Pathétique. Je levai donc ma tête et plongea mon regard jade dans ses yeux d'hunteur. Pourquoi au juste prenais-je la peine de la regarder ainsi? Pour lui montrer ma supériorité. J'eus un large sourire. Méchant, vicieux et cruelle. Ce que j'allais dire allait m'attirer ses foudres, j'en étais convaincu. Mais j'en avais rien a faire, de me faire détester par une hunter, stupide de surcroit.

"Que de belle parole... Des paroles qui ne peuvent venir que de la bouche d'une pauvre sotte d'hunter... Ah, et tu dois te compter chanceuse, je crois que je viens de te reconnaitre. D'habitude, je ne prends même pas la peine de regarder les êtres inférieur à moi. Tu est Shiro Kiryuu, pas vrai? La pauvre petite bâtarde de Zero Kiryuu?"

"Que de belles paroles... Des paroles qui ne peuvent venir que de la bouche d'une pauvre sotte d'hunter... Ah, et tu dois te compter chanceuse, je crois que je viens de te reconnaitre. D'habitude, je ne prends même pas la peine de regarder les êtres inférieur à moi. Tu es Shiro Kiryuu, pas vrai? La pauvre petite bâtarde de Zero Kiryuu?"

La veine qui passait sous la tempe de Shiro, celle-ci la sentait très bien, et sentait très bien la circulation y passer. Pourtant, la jeune Hunter resta calme... extrêmement calme. Elle élargit encore plus son sourire. Elle voulait donc jouer à ce petit jeu ? Comme si ça allait l'affecter plus que ça.

- Traite moi de bâtarde si tu veux, les bâtards sont toujours plus débrouillards et rusés que les pures races. Si tu crois que ça va m'affecter, tu te met le doigt dans l'oeil !

Shiro regarda cette gamine de toute sa hauteur. Cette petite Aidô était vraiment petite, et elle, elle était plus grande que la plupart des filles. Elle la voyait à peine, mais elle n'allait pas reculer pour autant. Elle préférait ne pas voir le visage de cette petite égocentrique, caché par sa poitrine généreuse, plutôt que de se donner envie de vomir à le voir en entier.

Elle posa ses mains sur ses cuisses, juste un peu sous les hanches. Elle avait prit l'habitude de prendre cette pose quelque peu inhabituelle -- normalement, c'est SUR les hanches qu'on pose ses mains, pas en dessous -- et réfléchit un moment. Elle avait envie de replacer cette gamine à sa place, mais comment s'y prendrait-elle ? Elle se foutait complètement que sa famille en ait après elle, elle savait se défendre... sauf qu'elle ne voulait pas causer trop de problèmes ni au Directeur, ni à son Adjoint, et encore moins à son père... Quoi qu'elle pourrait toujours s'amuser un peu avec cette petite "Je suis plus que parfaite" d'Aidô.

Au bout d'un moment, Shiro remarqua que son interlocutrice la regardait en la fixant de ses yeux de jade. Bon, on lui devait au moins ça... ses beaux yeux. Mais ceux dignes des plus belles améthystes étaient sans équivoque, elle se foutait complètement des caprices de cette enfant gâtée. Qu'est-ce qu'elle devrait faire... ? Elle avait bien une idée, mais elle la rejeta aussitôt qu'elle lui passa par la tête. Jamais de la vie ! C'était son dernier recours en combat, pas quelque chose qu'elle utiliserait à la légère pour s'amuser un peu... Quoi que.. ? Non !

- C'est étrange quand même... j'ai des envies de meurtres juste à te voir la figure...

Je serai mes petits poings contre mon corps... Si elle croyait que, moi aussi, je n'avais pas envie d'utiliser mes ronces et de la broyer, de la déchiqueter de... De la tuer! Elle qui se prenait pour une autre. J'essayais tant bien que mal de garde contenance... Car ce que je détestais plus que tout, ceux qui se prenait au-dessus de la perfection... En d'autre mot plus simple pour vous, qui se croyait meilleur que moi. Car bon, je pourrais le répété maintes fois, je suis la perfection. Je suis la meilleure, point. C'est à peine si je laisse quelqu'un me regarder... Car bon, il faut payer chère, très chère pour avoir la chance ne serais-ce que de discuter avec moi. Cette pauvre sotte devait ce compter bien chanceuse que je lui parle, même si c'était pour lui lancer des mots acerbes à la figure. Plusieurs auraient rêver être à la place de la hunter, d'avoir la chance de me parler directement.

Je me mis à me balancer lentement d'un pied à l'autre, les mains sur les hanches. Que pouvais-je bien dire à quelqu'un comme elle? Finalement, je crois que j'aurais mieux fait d'écouter ce débile de prof plutôt que d'écouter cette débile d'hunter. La fille de Zero Kiryuu... Qui était sa mère, au juste? J'aurais penser Yuki Kuran... Mais elle n'était pas marier à Kaname Kuran... Rah, ce Sang-Pûr que je déteste plus que tout. Toujours là à accaparer toute l'attention... Le débile... Mais peut-être que... Yuuki aurait jouer son infidèle et serait parti avec Zero un beau soir, seulement pour une nuit? Ce genre d'histoire m'amusait grandement, tant que je n'étais pas la victime. Car bon, moi, un fille parfaite d'Hanabusa et de Ruka ne pouvait être un batarde. Du moins, ce que je pensais. Car en fait, j'ignore toujours le fait que je suis une pauvre petite bâtarde, comme Shiro finalement... Et que ma mère a aussi tromper mon père. Mais bon, je l'ignore, alors je peux continuer de jouer mes petites miss parfaite.

"Laisse-moi te dire quelque chose. Les pauvres petites bâtardes dans ton genre ne pourront jamais dépasser quelqu'un d'aussi parfait que moi, tu sauras. Car bon, on a tout qui nous séparent. Autant le mode de vie que le niveau de puissance. Je suis meilleure que toi... Non, en fait, je suis meilleure que tout le monde et tu devras bien le comprendre un jour. Et le plus tôt sera mieux, pour toi et pour moi."

Un petit sourir s'étira sur mes lèvres. Oui, elle devrait bien comprendre qu'ici, la meilleure c'était moi et que nul ne pouvait rien pour moi... Si ce n'est que ce stupide Sang-Pûr de Kaname Kuran que je détestait plus que mon frère. Mais bon, il n'était pas ici, alors j'avais tout le loisir de montrer ma supériorité à tout le monde car le seul capable de me rabattre le clapet... Ce que je détestais le plus haut point. Je suis sûre qu'il s'amuse follement à me rendre ridicule...