Violent Carnage ~ Kyoukou Ryuuketsu

« Kyoukou Ryuuketsu « Trois siècle au moins « inconnu « Japonaise « Aucun (des méchants! ^_^) « Pouvoirs: - Ce que l'on peut dire c'est que son pouvoir lui va à ravir. Par des gestes controlés de sa main, il peut mutiler, tordre, ou même arracher des membres. Pour une meilleur compréhension, c'est comme si il contrôlait des bras invisibles, bien que ce ne soit pas le cas, on pourrait appelé ca un pouvoir psychique. - En tant que sang pur, il peut contrôler l'esprit des vampires de rangs inférieurs « Je vais tous vous pourrir.

Feat Durarara ; Izaya Orihara

(pardon pour les fautes, je n'ai pas le temps de me relire aujourd'hui )

Alors que certains être s’éveillait, le soleil amorçait une descente lente dans le ciel, et disparut bientôt à la vue de tout japonais, pour laissé place à la nuit et aux créatures qui y vivent. La Ville se réveille une seconde fois, les humains laissant place aux vampires, alliés ou non de ces êtres sans défenses. Un peu à l’écart du centre ville, dans un quartier résidentiel à familles plutôt aisées, à l’intérieur d’une maison dont l’extérieur est peu même voir pas du tout entretenue, dans une pièce du haut, un grand salon était assis un homme d’une vingtaine d’années en apparence. Les cheveux d’ébènes coupé courts, un visage à la peau aussi blanche qu’elle semble appartenir à un cadavre. Des yeux écarlates, ne reflétant que l’homme cruel qu’il était. Ses lèvres étiré en un sourire joueur et sadique, il observait par la fenêtre, au loin, la ville se préparer à la nuit. Le menton appuyer sur le bout de la paume de sa main, le coude sur l’accoudoir du fauteuil poster près de la grande fenêtre du salon. La pièce était plongée dans la pénombre. Seul le lampadaire de la rue du dehors, les lumières clignotantes et mobiles, et prochainement la douce lumière de la lune éclaires une minime partie du salon d’une lueur tamiser. Mais la lune ne sera sûrement pas de la partie ce soir. Les nuages recouvraient le ciel de toute part, gonflé d’eau près à lâcher leurs contenus sur la ville et ses alentours. Lentement, presque théâtralement, il se leva de son siège et traversa la pièce d’un pas mesuré, sûr de lui, les mains dans les poches et un sourire large aux lèvres. Il était temps de partir à la chasse.

Les rues du quartier étaient malheureusement toujours désertes la nuit. il devait donc marcher jusqu’aux premières rues urbaines, ou les magasins fermaient tout juste leurs portes. Il marchait d’un pas calme observant chaque humain qu’il croisait. Aucun ne l’intéressait particulièrement. Bien que beaucoup prenne le premier venu, l’homme, lui, était difficile dans le choix de sa première victime. Il tourna dans une ruelle, et vit un jeune couple, marchant main dans la main riant et parlant joyeusement. L’odeur de la jeune fille était alléchante. De plus elle était belle. Quoi de mieux ? Il s’approcha discrètement derrière eux, et sortit sa main droite de sa poche. Il ne bougea d’un geste brusque son index, et l’homme fut éliminé…. Décapité par le pouvoir du vampire. Un hurlement horrifié de la jeune fille, ne fit qu’excité un peu plus l’envie de sang et les sens de l’homme. Et alors qu’elle regardait choqué, le corps de son ex-mari, il en profita pour se glisser à ses cotés. Prenant conscience de sa présence, elle hurla une seconde fois et tenta de s’enfuir, en vain. Il son visage d’une main, et l’obligea a l’incliner sur le coté pour avoir un meilleur accès à sa fine et délicieuse gorge. Il planta délicatement ses crocs dans l’artère de la jeune fille. Dès cet instant son destin était de mourir très prochainement. Elle devrait la remercier, il lui donne la chance de rejoindre rapidement son défunt mari. Il bu avidement ce liquide de vie jusqu’à la dernière goutte et lâcha sa victime qui tomba mollement sur le sol inerte. Un sourire satisfait aux lèvres, il passa sa main droite sur son menton et sa propre gorge, recueillant le sang qui s’y était écoulé et apportant sa main à sa bouche ou il lécha les quelques gouttes de sang restantes. Cette jeune femme avait été plus savoureuse qu’il ne l’aurait espérer. Il reprit son chemin dans la rue principale, ou encore quelques promeneurs tardives passaient à ses cotés sans se douter de qui il était réellement.

Alors qu’il recherchait une autre victime, non assez rassasié, il fut témoin des premières gouttes d’eau qui se transformèrent rapidement en une fine pluie. Bien qu’il ne soit pas couvert, l’homme se fichait totalement. Il sera certes trempé mais qu’elle importance. Il continuait son chemin au centre ville, ou la ville était bien plus vivante même la nuit. Mais il y avait trop d’odeur, trop de gens, et il n’appréciait guère cela. Tout ce bruit l’irritait au plus haut point, et il fit demi-tour par une autre voie. Dans ce quartier il tomba sur une belle maison. Plutôt agréable, assez grande pour une famille de 4 à 5 membre. Et il connaissait bien cette demeure. Le souvenir de ce moment délicieux lui revint en même, un feu ardent et sadique dans ses yeux s’allumèrent alors qu’il observait cet endroit, se replongeant dans cette nuit si agréable.

Il pleuvait tout comme aujourd’hui. La nuit était bien avancée, et le vampire arrivait tout juste devant la demeure de la Famille Kurobawi. Un petit sourire en coin s’afficha sur ses lèvres « je vais leur rendre une petite visite… cela fait si longtemps que je suis parti haha~ ». il retira les mains de son long manteau noir et sonna à la porte d’entrée. Ce fut une femme d’âge mûr qui ouvrit la porte. Sa réaction était à prévoir, ses yeux s’écarquillèrent et elle recula de quelques pas avant d’appeler son mari. Il voulu en rire, mais se retint en voyant le dit mari sortir d’une pièce pour le regarder avec la même surprise que sa femme. Seulement il se reprit plus vite qu’elle et le regarda avec colère et peut-être même de la haine ? Un long sourire s’afficha sur les lèvres du visiteur qui entra en refermant la porte derrière lui. Il se tourna vers l’autre homme.

- He bien alors ? C’est ainsi qu’on accueil un vieil ami ? Akatsuki…

- tu n’es pas le bienvenu ici ! Et tu le sais très bien.

Son sourire s’élargit d’avantage lorsqu’il s’approcha de son sois disant ami. Il s’adossa au mur juste à coté de lui et pencha la tête sur le coté, son visage exprimant un air faussement vexé.

- ho tes paroles me blessent ! Que tu es cruel ! Pourtant avant nous étions quasi-inséparable non ?

- c’était bien avant que tu tombe si bas Kyoukou. Tu n’es plus que l’ombre de toi-même.

Cette fois, Kyoukou ne répondit pas. Son sourire devint cruel, et une lueur sadique s’afficha sur ses lèvres. Il attrapa soudainement son ancien ami par le col et le colla ainsi contre le mur. Il était comme fou. Mais évidemment, Akatsuki n’allait pas gentiment se laisser maltraiter sans réagir, il se défendit et rejeta violement Kyoukou loin de lui. Il souriait toujours de son sourire de possédé, et un combat s’engagea entre les deux amis. La femme d’Akatsuki toujours prête à aider son mari, restait tout de même en arrière pour le moment. Du couloir peu pratique ils passèrent au salon, les deux vampires luttèrent farouchement, détruisant les meubles et en détruisant tout ce qui passait sur leur chemin. Une tornade n’aurait pas fait mieux. Le combat arriva rapidement au moment où Kyoukou prit l’avantage. Son pouvoir étant redoutable il mit rapidement son ancien camarade au tapis, mutilant et déformant son corps, le démembrant avec un sadisme sans égal se délectant de ses cris. Il s’en prit ensuite à sa femme, lui infligeant exactement le même traitement. Il semblait heureux, et satisfait. Comme si le simple fait de déchiqueter de la chair était le meilleur des hobbies. Un sourire sadique satisfait s’afficha sur ses lèvres alors qu’il s’asseyait sur la table du salon mystérieusement intact après leur combat. C’est à ce moment là que les choses devinrent intéressantes.

Ho oui, c’était sûrement le moment le plus amusant de cette soirée. Il se souvenait encore de ses deux enfants choqué et terrifié par la scène qui s ‘offrait à eux. Alors qu’il les observait bien sagement assis sur sa table attendant que l’un d’eux se rende enfin compte de sa présence. Ce fut le garçon le premier à le voir, puis la fille voulu protéger son frère, mais c’était un geste inutile. Tout deux se firent subir rapidement la même défaite que leurs parents. De plus il se sentait d’humeur joueuse en cette soirée pluvieuse. Au lieu de les tuer, il les laissa ainsi et quitta les lieux, conscient et attendant avec impatience que leurs chemins se croisent de nouveau un jour.


Il pouvait se demander si ses enfants le recherchaient, ou bien s’ils avaient simplement survécu ou tuer par un hunter ? Peut-être les avaient-ils frappé si fort qu’ils ne se souviennent de rien… il espérait tout de même que non. Mais ce souvenir en éveillait bien d’autres. Un souvenir bien plus lointain. Mais pour pouvoir en comprendre le sens il faut remonter jusqu’à sa toute petite enfance. Un enfant unique qui était destiné à mal tourné. Un enfant dont le nom sanglant aurait été lé signe du chemin qu’il prendrait. Et pourtant la famille dans laquelle naquit ce garçon était une famille respectable et fière. Ainsi que très respectée.

Pour connaître les détails il faut pour cela remonter trois cents ans en arrière. Dans un petit village de campagne où vivait dans le plus grand secret une famille de vampire. Une famille dont le sang n’a jamais été souillée par une liaison avec un humain, des sangs purs. De cette famille un seul héritier pour l’instant. Un petit garçon de 4 ans, nommé Kyoukou. Kyoukou Ryuuketsu, un nom bien étrange et sombre, un enfant appelé « violent carnage » n’avait pas le don de rassurer les autres gamins du village. Mais qu’importe, Kyoukou ne se mêlait jamais aux humains et pour cause, il n’en avait pas le droit. Cette interdiction n’était pas à cause de son sang, mais de sa personnalité. C’était un enfant instable, impulsif qui se laissait rapidement allé à la colère et ses instincts. Et de plus, cette famille de sang pur, faisait partie de celle qui voulait cohabiter avec les humains et la possibilité de Kyoukou puisse en mordre un était inacceptable. Ce jeune garçon suivit donc une éducation stricte sur son comportement et ce qu’il devait faire ou ne pas faire. Il resta cloitré à l’intérieur des années durant, repoussant el jour ou il devrait sortir pour affronter le monde extérieur. Mais un jour, il réussit a se soustraire de la surveillance constante de ses parents et fila en douce sur la place du village. Le soleil disparaissait tout juste derrière les petites collines au loin, offrant ses derniers rayons de soleil et plongeant le village dans des tons de couleur ocre et oranger. Dans un coin de la place des enfants jouait à se lancer un ballon. Lorsque le ballon touchait un des enfants ce dernier arrêtait de jouer et se mettait derrière l’équipe adverse. Quel était ce jeu bien étrange ? Kyoukou âgé alors de huit ans regardait jouer ces enfants comme si il serait trouvait au beau milieu d’un rêve. Ils avaient l’air si heureux, alors que lui se sentait seul. Hésitant il s’approcha, les mains triturant le bas de son chemisier. Il était comme hypnotisé par cette vue qui promettait chaleur et joie. Il était à présent tout proche, les joues rosé par la timidité, et s’apprêtait à prévenir de sa présence quand…

- Attention !

Kyoukou n’eut pas le temps de réagir, la balle le heurta au visage de plein fouet et il tomba en arrière sur le sol. La balle tomba à ses pieds et roula un peu plus loin. Qu’elle belle prise de contact ! Kyoukou était mort de honte et se tenait le visage dans les mains, non de douleur, mais pour caché sa gêne. Les autres enfants s’étaient regroupé autour des vampires et s’inquiétait pour lui. Doucement, comme rassuré par ses excuses et ses paroles douces et innocente, il retira les mains de son visage et redressa la tête pour regarder le groupe d’enfant. Il fut surpris de constater leurs expressions figées dans la surprise et la peur. Ils le fixaient tous à présent comme si il était une chose bien étrange, un animal de cirque, ou… un monstre. Gêné par ses regarde, il se leva et recula de quelques pas. Son cœur battait la chamade alors qu’il ne savait qu’elle réaction avoir.

- Je… Je…

- Regardez ! il a les yeux rouges !

- c’est bizarre !

- Il fait peur…

- Dans les histoires que raconte maman ce sont les monstres qui ont els yeux rouges

Et cela continuaient. Les paroles de ses enfants encore trop jeunes pour se rendre compte de la lourdeur de leurs paroles, blessait le jeune vampire comme jamais. Les membres tremblant, il posa ses mains sur ses oreilles pour ne pas en entendre plus, et s’enfuit hors de la place, et rentra en courant chez lui les larmes sur les joues. Lorsque ses parents le découvrit en larme il dut avouer qu’il était sortit en douce. Il n’eut pas de punitions car il n’avait rien fait qui aurait put déranger la famille, mais on lui expliqua que les enfants avait du mal à accepter ce genre de différence. Il accepta donc les remarques que lui avait fait ses enfants, mais ne sortir plus se joindre à eux. Ses seuls sortis étaient lors des soirées organisées par la Ligue. Il y accompagnait ses parents et se joignait aux enfants de son âge eux aussi vampires. Mais il ne s’y amusait pas. L’image de ces petits humains en train de s’amuser à un jeu dont il ne trouvait toujours pas le nom, restait gravé dans son esprit, et depuis ce jour il aurait aimé jouer lui aussi à ce jeu, bien que la façon dont il avait fait connaissance avec la balle n’as pas été des meilleurs. Les années passèrent et Kyoukou devint un jeune homme bien sombre et solitaire. Il était toujours aussi impulsif et supportait mal la compagnie. Il avait réessayez de se mêler aux humains mais sans succès. Il avait donc abandonné, et il ressentait à présent une haine grandissante pour ses êtres si faible et pourtant si méprisant et méprisable.

Cent années s’étaient écoulées. Il rencontra son premier et son seul ami, lors d’une soirée organisé par la ligue. Il y était allé comme à sont habitude, étant un sang pur il devait faire bonne impression. Mais il restait plus dans son coin qu’autre chose. Alors qu’il observait les invités parler, posté en haut des escaliers, il sursauta lorsqu’il entendit une voix dans son dos.

- Vous ne vous mêlez pas à la foule ?

Il se retourna vivement, et vit en face de lui un jeune vampire aux cheveux brun et court. Il prit un air hautain et voulu l’envoyé sur les roses, Mais il ne sut quoi dire en voyant le sourire sur le visage du jeune homme. Il n’était pas comme ceux des autres vampires, il n’était ni forcé, ni poli, il était juste sincère. Il fit une grimace et lui tourna juste le dos. Il pensait à ce moment qu’il partirait juste, qu’il le laisserait pour rejoindre les invités, mais c’était mal connaître le jeune homme. Il se mit à ses cotés et s’accouda à la balustrade.

- Qu’est ce que tu veux !

- Rien juste discuter…

- tch…

Ce fut le cadet qui parla le plus, quand à l’ainée, il l’écoutait d’une oreille au début, jusqu’à qu’il se laisse allez à la conversation et dévoila une autre partie de lui. Plus timide, et maladroite. Mais la discutions prit rapidement fin lorsque qu’une jeune femme rejoint le duo en pleine discutions. Il apprit ensuite qu’elle était sa femme. Il devait l’avouer, il avait du gout, cette femme était charmante sur tout les points. Il laissa donc le couple rejoindre les invités renouant avec son amie la plus chère : la solitude. Au fil du temps les deux hommes qui se revoyaient lors d’occasions, nouèrent une relation semblable à une grande amitié. Semblable, car Kyoukou allait bientôt briser tout ça.

Kyoukou se trouvait à présent dans un parc. Il prit place sur un banc, un fin sourire aux lèvres aux souvenirs qui revenaient les uns après les autres. Comme si s’était hier, il se rappelait de la joie qu’il avait ressentit d’avoir un ami. Mais il fallu qu’il brise cette amitié, ainsi que tout ce qu’il possédait. Il faut le répéter, Kyoukou à toujours été un vampire instable. Un soir, alors qu’il buvait un blood tablet, il fut prit d’un coup de folie. Il en avait marre de cette boisson. Depuis toujours il s’était demandé quel gout avait le vrai sang. Cela faisait à présent des mois et des mois que son envie était devenu plus forte, qu’il s’énervait pour peu de choses et qu’il observait souvent les humains, une lueur d’envie dans ses yeux pourpres. Il avait beaucoup de mal à contrôler ses envies et ses instinct. Et ce soir… il se laissa totalement allé.

Son nom avait à présent une signification. « Violent carnage » était une magnifique appellation pour ce qu’il fit au village et à ses habitants, mais aussi à sa famille. Il semblait comme fou. Il but tant de sang, il fit tant de meurtres. Il se sentait si bien entouré de tous ses cadavres ses corps mutiler aux membres éparpillés. Les habits couverts de sang. La folie le mena jusqu’à tuer sa propre famille. En une nuit, Kyoukou Ryuuketsu devint un meurtrier et disparut de la circulation lors de 17 années.

Les hunters à ses trousses il dut s’enfuir, ce fut la raison de sa disparition. Il n’avait jamais regretté son geste, il sentait un nouveau lui naitre au fond de son cœur noirci par ses meurtres et la satisfaction et le plaisir avec lequel il tua toutes ses malheureuses personnes. Il devint l’un des ennemis publics les plus dangereux recensé par la Guilde. Et lorsqu’il revint dans la ville de Tokyo, il tua la famille Kurobawi trahissant son ami et la famille de ce dernier. Mais il laissa en vie les deux enfants. Qu’ils grandissent, que la haine devienne leur arme, et que le destin croise leurs chemins à nouveau. Cette partie allait être intéressante. Et nous voici, un an plus tard, dans ce parc vide, le meurtrier dont il est question dans ces souvenirs, souriant tel un fou et se préparant à rencontrer de nouveau Alicia Kurobawi et Neal kurobawi.

Ady, Adibou ;
Adrien ;
27;
Bouche à oreilles ;
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